Mise en scène
Pietro Pizzuti, assisté de Vincent Vanderbeeken
Avec
Jacqueline Bir, Alain Leempoel
Adaptation théâtrale
Jordi Galcerán
Réalisation décor musical
Laurent Beunier
Création lumières
Marc Lhommel
Réalisation vidéo
Benoît Gillet
Costumes et scénographie
Delphine Coërs
Professeur de danse
Daniela Lucà
Dans le cadre de la collaboration avec le Centre culturel de Waterloo
Une production de Panache Diffusion sprl et Le Théâtre Le Public. Avec la collaboration de la Vénerie – Centre Culturel de Watermael-Boitsfort. Les auteurs sont représentés dans les pays de langue française par l’agence MCR,
Marie Cécile Renaud, Paris en accord avec Felix Bloch Erben Agency, Berlin
Durée
Environ 1h25
Spectacle Conversations avec ma mère
C’est l’état d’une société que l’auteur interroge ici à travers les conversations entre une mère âgée et son fils : la situation de l’Argentine en 2001, l’engagement individuel, l’éloignement des générations n’est pas sans rappeler l’Europe d’aujourd’hui. Cette histoire drôle et émouvante prône le partage et la liberté comme réponses aux débâcles économiques et sociales.
Ce qui touche surtout, c’est la tendresse et l’espièglerie d’une mère avec son fils, sans oublier l’amour qu’ils se portent dissimulé par la grande pudeur de leur relation.
C’est dans ce contexte, qui va bouleverser les rapports humains, que se situent ces Conversations avec ma mère. Mama a 82 ans mais a le verbe haut et la répartie facile ; son fils Jaime, qui a toujours été son petit garçon, en a déjà quand même 50 !
Cette pièce drôle et émouvante, aborde le thème universel de
la relation d’une mère âgée et de son fils adulte.
«... l’émotion des spectateurs était due autant à la pièce juste et sensible qu’à la performance de ces deux acteurs dont le duo complice fonctionne à merveille. ...»
Camille de Marcilly, La Libre Belgique.
«Un dialogue hilarant et bouleversant ... ce dialogue entre une mère de 82 ans et son fils quinquagénaire rattrapé par la crise économique est d’une étonnante justesse, jusque dans ses côtés les plus surréalistes. ...»
Jean-Marie Wynants, Le Soir Le MAD.