Avec Sophie Lajoie, Jean-Marie Pétiniot
Mise en scène Nele Paxinou
Et il prit sa plus belle plume
Août 1914. Jean Martin, instituteur d’un petit village auvergnat, doit partir à la guerre. Il quitte son épouse Elise et leurs deux enfants.
Les choses commencent bien : il retrouve à la caserne ses compagnons de service militaire.
Le soir, il adresse une première lettre à Elise. Elle lui répond. Et bientôt, à travers leurs échanges, se raconte leur histoire, le comique et le tragique des années de conflit, de l’amour à la révolte, de la tendresse au désespoir.
Lettres à Elise offre un témoignage bouleversant sur la Grande Guerre et propose, loin des hommages officiels et des grands faits de l’Histoire, un drame familial intime et touchant. L’occasion aussi de découvrir comment les femmes ont pris en charge toutes les tâches de la société, que ce soit le travail à la ferme ou l‘éducation des enfants, comme Elise qui remplace son mari instituteur.
Le projet est né d’une envie commune de Nele Paxinou et Jean-Marie Pétiniot de parler de la Première Guerre mondiale. Ils confient l’écriture à Jean-François Viot qui, au fil de ses recherches, met au jour une correspondance poignante : 10 milliards de lettres de poilus écrites dans les tranchées en quatre ans.
Il décide alors de retracer le destin d’une famille fictive durant la guerre par le biais d’une correspondance régulière entre le front et « l’arrière ».
Pour sa démarche, Jean-François Viot s’inspire de l’œuvre de l’Américaine Kressmann Taylor avec son Inconnu à cette adresse, publié un an avant le déclenchement de la Seconde Guerre mondiale, mais aussi de Love letters de A.R. Gurney, joué notamment au Théâtre Blocry par Jacqueline Bir et Gérald Marti.
Jean-François Viot a reçu le prix littéraire du Parlement de la Fédération Wallonie-Bruxelles en 2014 pour sa pièce Lettres à Elise.
Août 1914. Jean Martin, instituteur d’un petit village auvergnat, doit partir à la guerre. Il quitte son épouse Elise et leurs deux enfants.
Les choses commencent bien : il retrouve à la caserne ses compagnons de service militaire.
Le soir, il adresse une première lettre à Elise. Elle lui répond. Et bientôt, à travers leurs échanges, se raconte leur histoire, le comique et le tragique des années de conflit, de l’amour à la révolte, de la tendresse au désespoir.
Lettres à Elise offre un témoignage bouleversant sur la Grande Guerre et propose, loin des hommages officiels et des grands faits de l’Histoire, un drame familial intime et touchant. L’occasion aussi de découvrir comment les femmes ont pris en charge toutes les tâches de la société, que ce soit le travail à la ferme ou l‘éducation des enfants, comme Elise qui remplace son mari instituteur.
Le projet est né d’une envie commune de Nele Paxinou et Jean-Marie Pétiniot de parler de la Première Guerre mondiale. Ils confient l’écriture à Jean-François Viot qui, au fil de ses recherches, met au jour une correspondance poignante : 10 milliards de lettres de poilus écrites dans les tranchées en quatre ans.
Il décide alors de retracer le destin d’une famille fictive durant la guerre par le biais d’une correspondance régulière entre le front et « l’arrière ».
Pour sa démarche, Jean-François Viot s’inspire de l’œuvre de l’Américaine Kressmann Taylor avec son Inconnu à cette adresse, publié un an avant le déclenchement de la Seconde Guerre mondiale, mais aussi de Love letters de A.R. Gurney, joué notamment au Théâtre Blocry par Jacqueline Bir et Gérald Marti.
Jean-François Viot a reçu le prix littéraire du Parlement de la Fédération Wallonie-Bruxelles en 2014 pour sa pièce Lettres à Elise.
20h30, Je.: 19h30 et dim.: 16h00
Les à-côtés
- Jeudi 22/10 : rencontre avec les artistes à l’issue de la représentation.
Les à-côtés
- Jeudi 22/10 : rencontre avec les artistes à l’issue de la représentation.
Tél.: 0800 25 325 - reservations@atjv.be
Un spectacle produit par les Baladins du Miroir.