De 2,5 Ã 6 ans
Danser avec de l’eau et de la barbotine, vous imaginez ? Grandes
éclaboussures, petites glissades, coulées de terre, des histoires se
racontent, des motifs apparaissent, au gré des gestes, dessins, courbes,
arabesques mouillées…
Une danseuse, de la terre, de l’eau, de la barbotine. Un espace s'ouvre sur un atelier, lieu de fabrication, lieu de rêverie, lieu de tous les possibles... Tenter la rencontre du mouvement qui allie force et délicatesse avec celui de la terre parfois lourde, filante, soyeuse. Jouant d’audace, la danseuse s’autorise, prend le risque de se salir, de se plonger dans la matière et rend le spectateur complice de cet esprit frondeur. Grandes éclaboussures, petites glissades, coulées de terre, des histoires se racontent, des motifs apparaissent, les images vont et viennent au gré des gestes traçant et dessinant des courbes, des symétries, des écritures... La danseuse accepte le jeu que la terre lui propose et y réinvente ses propres règles, invitant le spectateur à trouver et traverser ces paysages inventés dans l’instant.
Prix du Ministre de l'Enfance aux Rencontres de Huy 2013Une danseuse, de la terre, de l’eau, de la barbotine. Un espace s'ouvre sur un atelier, lieu de fabrication, lieu de rêverie, lieu de tous les possibles... Tenter la rencontre du mouvement qui allie force et délicatesse avec celui de la terre parfois lourde, filante, soyeuse. Jouant d’audace, la danseuse s’autorise, prend le risque de se salir, de se plonger dans la matière et rend le spectateur complice de cet esprit frondeur. Grandes éclaboussures, petites glissades, coulées de terre, des histoires se racontent, des motifs apparaissent, les images vont et viennent au gré des gestes traçant et dessinant des courbes, des symétries, des écritures... La danseuse accepte le jeu que la terre lui propose et y réinvente ses propres règles, invitant le spectateur à trouver et traverser ces paysages inventés dans l’instant.
"(...) le spectacle de la Cie Nyash embraye sur de contagieux badinages manuels, jonglant entre terre et eau dans des mélanges facétieux. La danseuse souffle dans la poussière pour créer de poétiques nuages, se roule dans un jubilatoire bain de boue, joue avec l’empreinte de ses mains, rivalise avec Jackson Pollock dans des éclaboussures endiablées, dessine de primitifs tableaux et convoque d’intrigants monstres de glaise, sculptés avec son menton. Les enfants sont captivés par ces jeux interdits, cet atelier où jouer avec la terre et la boue n’est plus défendu."
- Catherine Makereel, Le Soir -
Distribution :
- Concept : Caroline Cornélis et Miko Shimura.
- Interprétation : Miko Shimura
- Regard scénographique et plastique : Anne Mortiaux
- Mise en lumière : Frédéric Vannes
- Univers sonore : Antonin De Bemels
Une production de la compagnie Nyash, accompagnée par le « Grand studio », coproduite par le Centre culturel Jacques Franck, soutenue par Pierre de Lune et Les Chiroux, avec l’aide de la SACD.